En ces temps d’euphorie collective, il est bon parfois de se recentrer sur l’essentiel. Pour ma part il s’agit de survivre aux attitudes déconcertantes de mes tendres adolescents sans pour autant prendre un abonnement journalier chez le caviste.
Si votre adorable bambin commence à vous répondre « wesh », « askip » ou autre expression obscure, il y a des chances qu’il entre dans la préadolescence, si celui de 15 ans ne vous parle plus du tout, c’est qu’il est en plein dedans, si le plus grand, ayant atteint l’âge adulte, vous téléphone encore pour vous demander s’il n’a pas oublié la moitié de ses affaires chez vous, c’est qu’apparemment, cette pubère période n’a pas de fin.
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